Notre histoire
Après avoir été fermés pendant deux ans, les locaux ont rouvert les portes, avec le même nom que maintenant, mais comme un pub musical. L’expérience était assez bonne. Les propriétaires ont été encouragés à servir non seulement des boissons, mais aussi des aliments. Il y avait des feuilles de temps et sûrement moins de musique, mais de plus en plus de souvenirs.
Les murs de pierre conservent beaucoup d’anecdotes qui relancent chaque fois que l’un de ses protagonistes se prépare à froisser l’un des plats de la lettre.
Pour Eva, par exemple, il semble encore ressentir la piqûre de lame et l’humidité d’une pièce qui a toujours fait l’odeur d’ammoniac. Évoqué sans effort qui était un endroit sombre et froid, très différent de la salle à manger actuelle. Il n’avait que 6 ou 7 ans, mais les usines de glace ne sont pas facilement oubliées.
En face du port de Palamós, dans la Plaça de Sant Pere, a ouvert le restaurant La Fàbrica del Gel par les frères Ribot en 1997. Il offre une grande variété de poissons, de viande et de fruits de mer qui en font un bon exemple de la cuisine catalane moderne.
On ne peut pas dire que le nom de l’établissement est un prodige d’inventivité, mais il a la vertu d’honorer la vérité. Au début des années 60, le Ribot a commencé à produire de la glace sous le même toit, une tuile qui a maintenant la salle à manger du restaurant. L’usine a fonctionné jusqu’en 1987, lorsque la Generalitat a refusé aux propriétaires les permis nécessaires pour continuer à ouvrir, en raison de l’ammoniac qui a été utilisé pour fabriquer les barres de glace: Trop toxique, trop dangereux, les experts ont régné .
Et encore moins si vous êtes allé avec vos amis à la recherche de la crème glacée essentielle pour garder les boissons alcooliques que vous pensiez ingérer pendant les premières heures du froid. C’est le cas avec Xevi, qui se souvient des barres de cinq kilogrammes et demi et des crochets avec lesquels ces gourmands les ont amenés à réduire l’eau à l’état solide. Ils ont produit entre cinq cent six cents bars par jour, pour les particuliers et pour les campings, mais surtout pour les poissonniers.
Tout cela est déjà l’histoire, mais il y a des murs pour quelque chose: conserver ou invoquer des images du passé, se placer sur la scène où hier vous avez cherché de la glace et aujourd’hui vous faites un repas. Et si vous n’avez jamais marché sur l’usine, vous aurez toujours l’imagination. si vous pouvez preguntart l’esprit de Truman Capote, qui a vécu très près au cours de leur séjour dans la ville, parmi mâché et mâché, tout attristée de penser que la glace de l’Arctique fond plus vite à chaque fois, sera de l’ordre de restaurant; ou si l’inventeur de cubes, Frederic Tudor, Boston Palamos ont changé, ou si les boissons gazeuses et les boissons glace accompagnent que nous consommons à côté du port meilleur goût en étant simplement servi usine de glace.
